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sur le grill

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  • Mon maître référent étant Quevedo, je m'inscris dans la lignée de ce grand satiriste.... ....et je passe au grill, et sans aucun respect,tous les grands (et moins grands) de ce bas monde ....et je passe au grill toutes les idées reçues et autres litotes
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8 septembre 2012

La jalousies des pauvres

LA FRUSTRATIONS DES

O   P   U   L   E   N   T   S

C’est un monde tout de même de ne pouvoir jouir,

en toute quiétude, de nos légitimes privilèges et prébendes.

Rouler en Jaguar sans susciter la jalousie, taster du caviar sans avoir face à vous des crevards indécents qui mendient. En plusse, ils polluent l’atmosphère. Pas écolo ces gens là. Des mendiants ! Saint Antoine quelle horreur. Passer une semaine hivernale sur une île paradisiaque, les Marquises, et revenir tout bronzé soulève les regards envieux des usagers palots du métropolitain. Ces ignorants oublient les souffrances que nous endurons à bronzer, dans notre transat une pressade d’orange en main.   

Précision : ce n’est pas moi qui fréquente la RATP, trop chaud en ces lieux malsain pour la santé. Comment voulez-vous que dans ces conditions que le banlieusard (mon Dieu quel vilain mot !) ne tombe régulièrement malade. Inconscients ! Vous creusez  votre propre tombe mais aussi le déficit de la Sécu. Je souligne le fait que : en faisant nos courses chez Fauchon ou Dalloyeau nous fournissons du travail à quelques galériens même pas reconnaissants. Et à Tignes ou Chamonix à quelques rustauds de montagnards. Encore que dans ce cas j’émettrais une réserve car sur les photos souvenirs ils font très couleurs locales ces bipèdes indigènes. Ils sont rustaud s’expriment dans un français dit verlan. C’est d’un comique.

Par exemple ils ne disent pas CON (excusez le vulgaire) mais NOC. Mon dieu que de crise de rire avec Marie-Chantal. Le verlan consiste à lire à l’envers les mots…

Comme les arabes quoi. Vu que le hasard m’est donné, je tiens à souligner que je suis un humaniste chrétien donc insoupçonnable côté racisme. Je n’ai rien contre les gris et autres crouilles. Je m’affiche comme anti-musulman, j’abhorre le couscous, se vêtir d’une djellaba c’est d’une inélégance et pourquoi pas en chemise de nuit (je ne puis m’empêcher de réprimer un rictus tant mon humour est subtil) et pis quelle indécence que  de s’exposer à la vue du public ses atouts arrières à l’occasion des prières, suscitant cette réaction de mon ami Pierre-André-Marie : Je te foutrai un coup de pied au c… à tout ça direction La Mecque. P.A.M. ferait pam-pam à tous ces culs culs. Ni plus, ni moins que de l’exhibitionnisme réprimé par la loi. Mais que fait la police ? Il est d’un drôle mon Pierrot. B

on reconnaissons, d’évidence, qu’il y a trop de juif dans la finance et le journalisme. Honnêtement trop c’est trop. Est-ce que nous, LES PRIVILEGIES, nous réclamons un quota. Non. Car nous, nous savons nous tenir. Et que dire de la kippa ? Une petite brise et plus de kippa, zou dans le caniveau. Et même certains juifs dits orthodoxes  se baladent avec des tresses. Enfin messieurs assumez donc votre genre et laissez ces horribles tresses à quelques tribus négroïdes d’Afrique subéquatoriale. Et cette pauvre jeunesse déboussolée qui s’affiche avec ces grosses tresses plates des rastas. Je te raserai tout ça comme à la Libération pour les femmes qui ont friquotté avec les Frigolins.

Je reprendrai les propos, frappés au sceau du bon sens, de M Louis Ferdinand Destouches qui eut le courage de publier dès 1937 une œuvre majeure : “Bagatelles pour un massacre”. Œuvre qui fut un best seller dans l’édition pendant les années 40. Cet ouvrage victime d’un incompréhensible ostracisme n’a jamais été réédité et aucune édition de poche ne fut imprimée.

-O-

Extraits : “La France n’est pas un pays riche, loin de là ! …C’est un pays pauvre même, un pays de petite ressource…et mesquin dans ses entournures. C’est un pays où l’on doit ramer, trimer, pour simplement vivre. Surtout avec l’énorme dîme que nous payons à nos parasites (censuré) nationaux et internationaux.  Si les natifs extravaguent, ils tardent pas à la sauter. C’est la loi des sols emiteux…Ces conditions économiques nous rendent parfaitement tributaires au départ, des étrangers…”

 

Autre extrait : “Jamais les frontières, les ports, n’ont été pour les aryens si farouchement interdits, hérissés de règlement absolument exclusifs, de prescriptions draconiennes, de lazarets et de bourriques…les quarantaines dégueulasses, c’est tout pour lui… tout le brelan des humiliations politiques, crasseuses et prophylactiques, tous les armements de la bonne guerre contre le fumier qui s’apporte, il faut le rembarrer d’emblée ! Lui enlever et pour toujours l’idée de revenir…de repiquer au petit truc, le guérir de l’aventure…qu’il se  trisse ! qu’il aille pourrir ailleurs ! c’est la loi des pays forts. Des quotas  moins impitoyables protégeant très bien tous les Etats, où la vie est un peu moins dure, contre la ruée des mendigots…le prolétariat possesseur contre l’invasion des affamés qui viennent geindre à ses frontières…rôder autour du pot au feu. Il n’est qu’en France qu’on reçoive tout…”

pp 156-157 de la 47ème édition.

-O-

Je n’ajouterai qu’une précision :

pas des mais de l’étranger. Chacun interprètera à bon escient. Je ne puis qu’être soufflé, époustiflié

que dis je, par

la richesse lexicale et la créativité de l’auteur mis au service d’une noble cause.

Des esprits chagrins brandiront (bande de brandeurs !) : NEGATIONNISME.

N’importe quoi. Doit-on être insensible au talent littéraire d’une polémiste aux cieux de son art.

En conclusion nous ne pouvons jouir pleinement et en toute quiétude de nos biens transmis de père en fils. Heureusement que le Grand Mou a renoncé à imposer à 75% les hauts revenus.

J’ai lu dernièrement dans un support objectif : National-Hebdo que la France comptait 900 000 pauvres qui gagnent moins de 900 euros par mois. Encore heureux ! Au Sahel ils survivent avec 1 euro par jour… et en plus ils ont l’impudence de se plaindre. Je vous quitte à regret car je dois partir en mission humanitaire à Passy pour aider à la lutte contre l’obésité.

A s'empiffrer de foie gras de canard truffé, voilà les résultats.

                                                                                                                                           Pedro QUEVEDO

                                                                                                                    Pécul dans l 'intimité plumarde

 

 

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7 septembre 2012

LES CASTAGNETTES DE L'ABBE CASTAGNET

 

Histoire vraie (ça ne s’invente pas !)

C’est le Curé de Cucugnan de l’Alphonse en abrégé soit : Le curé du cul.

L’argent de la quête 200 000 euros servait à la quéquette de Monsieur le curé.

Cette modique somme il l’a reversait fort charitablement à son amant (je précise un

homme-masculin-viril) prostitué. Dans le genre c’est la totale. On était habitué à la

curetaille pédophile, au Cardinal Daniélou qui fréquentait les putes de la rue Saint

Denis, aux curés avec des servantes (d’une banalité), aux moines gourmands de la

chair fraîche des moinillons, aux curés chez les scouts. Les gamins regagnaient

leurs foyers en dodelinant du croupion et victimes de crampes aux joues. L’abbé

Castagnet n’a fait qu’appliquer le précepte : Aimez-vous les uns les autres

interprété en un : Aimez-vous les uns DANS les autres. Une question :

 

QUI FAISAIT LA MEUF ?

 

Monsieur le curé jouait-il à la none ?

 

Bref le curé se faisait luire les castagnettes (et le reste) par un giton.

Pas reluisant tout ça. Et après vous médirez :

"Wouah ! qu'il est anticlérical çui là"

J'en appelle à la sagesse des lecteurs :

N'y a-t-il pas motif messieurs-dames

______________________

 Commentaire : et les locataires du Vatican qui s’autorisent à nous donner des leçons de morale. Le Grégoire il ferait mieux de mettre de l’ordre dans sa taule plutôt que de jeter l’anathème contre les pédés et autres tarlouses. La foudre divine doit être réservée au clergé en priorité. Ces gens là sont sensés être exemplaires. Du positif tout de même : les paroissiennes, grenouilles de bénitiers, ne risquent rien à fréquenter la Maison de Dieu, le curé à d’autres priorités.

 

6 septembre 2012

EH BEN DIS DONC QUEL MÂLE ?

LE MARECHAL EN AVAIT 4

je dis bien :

q u a t r e

-O-

Prenez votre respiration : Louis-Hubert-Gonzalve

LYAUTEY, MARECHAL de France

Représenté toujours monté (à cheval) Pas de doc enchevauché.

Jojo Clémenceau qui n’avait pas sa langue dans la poche

(ni ailleurs d’ailleurs) tonitrua :

« Pendant toute sa carrière, Il a souvent eu des couilles au cul…

mais il faut bien avouer que ce ne n’était pas

toujours les siennes. »

Mauvaise va

euh ! ou jalouse (va savoir ?)

-O-

Notre Maréchal monté fut aussi président(e)* d’honneur

des Scouts de France.

Venez à moi les petits enfants. 

Bien encadrés les puceaus par les curés et un maréchal super-viril.

Bonnes gens dormez tranquilles

les scouts encadrent, d'un peu trop prêt

-O-

Sa devise : La joie de l’âme est dans l’action.

Faudrait se mettre d’accord tout de même

Alors il (ou elle) était actif ou passif ?

 

VIVE

LA

FRANCE

et l'autre gragataire de Fifi qui livra,

sur un plateau

la France aux frigolins,

il en avait combien ?

O (zéro)

Rien dans le false ce péteux

Que dalle

 

* le "e" est optionnel

6 septembre 2012

NE EN 1951 / NEANT 20..

IMG_0224

Thanatos a cruellement sévi dans mon champs d’amitié et fauché de

prometteurs fleurons : Boubou de l’Huma Dimanche, Kriss couturier, Michou

mon coiffeur, Fanchon le Compagnon du Devoir, et tant d’autres. Mon arbre

de vie est sérieusement émondé : Popo la théâtreuse du Canau de

Montpellier, Pierrot grand frère mon camarade ambassadeur,

Gastounet de Narbonne.

Je me retrouve sans bras ni jambe, seul le tronc résiste encore. Mais pour combien de temps ?

-O-

La rubrique nécrologique du régional me paraît particulièrement prédestinée. Je suis presque étonné de ne pas y lire mon nom. Mon père vient d’inaugurer notre dernier gîte des familles.

Ma plaque est prête :

“Ici gît un homme libre. Je fus mon seul dieu et maître”.

Dernière facétie. Dernières volontés. Mes cendres seront répandues par plein vent du haut de la falaise de La Franqui portées jusqu’au Maghreb, ma terre d’amour, où je rejoindrai mes sœurs et frères de cœur.

Mes gémissements ne sont points doléances. Je ne suis pas à plaindre. Et ne veux pas l’être. La compassion m’est tout autant insupportable que la charité. L’heure a sonné du solde de tout compte, mais je n’ai de compte à rendre à personne sinon à ma conscience. De biens grands mots pour dire tout simplement que je n’ai pas à avoir honte de la vie que j’ai menée. Vie faite de bric et de broc, avec une constance : mon bon plaisir.

Hédoniste des choses, rabelaisien de la chair. J’ai pratiqué la politique de l’autruche en prenant la fuite. A quoi bon perdre son temps en explications quand le combat est perdu d’avance. J’ai longtemps considéré la fuite comme une lâcheté, comme un refus du réel. La lecture de l’ouvrage d’Henri Laborit “Eloge de la fuite” m’a réconforté. Je n’ai pas lu les 190 pages poche de Laborit, trop dense, mais j’ai retenu que :

Se révolter, c’est courir à sa perte, car la révolte, si elle se réalise en groupe, retrouve aussitôt une échelle hiérarchique de soumission à l’intérieur du groupe, et la révolte, seule, aboutit rapidement à la soumission du révolté. Il ne reste plus que la fuite.

-O-

Jean-Pierre PIBOULEAU

 

6 septembre 2012

M'enterrez pas sitôt...

foto croix basta

BANDE DE NAZE

J'ai pas, encore, fini de vous chier dans les bottes

«La maladie ne fabrique pas l'écrivain. L'écrivain l'utilise, comme il utilise tout. En d'autres temps, a-t-on déclaré une culture de la syphilis ou de la tuberculose? Maupassant ne s'affiche pas comme l'écrivain de la syphilis. Pas plus qu'Albert Camus ou Thomas Bernhard ne sont ceux de la tuberculose. Le sida, la tuberculose, la syphilis deviennent le prétexte qui offre à l'écrivain son dialogue avec la mort.
C'est cette confrontation qui nourrit leurs livres.»

Martine de Rabaudy (L'Express - 06/12/2001)

"La mort, on la bâillonne, on la censure, on tente de la noyer dans le désinfectant, de l'étouffer dans la glace. Moi je veux lui laisser sa voix puissante et qu'elle chante, diva à travers mon corps."

Hervé Guibert

-0-

Ne m'enterrez pas sitôt bande de naze. Je suis toujours là et je vis, je m'empiffre, je bouquine, j'écris et je baise. Ne vous en déplaise. Je jouis de tout à tout instant.

Certes, nombre de mes frères sont partis. Simplement ils ont oublié de prendre le billet retour. Insouciants petits cons. Bande de veinards, maintenant vous touzez avec les anges, courtisés qu'ils sont par des éphèbes blonds sous le regard lubrique de Cyril Collard, Hervé Guibert et Yves Navarre. Grace à cette putain de maladie, merci, je goûte encore plus la vie. Maitre Sida m'a boosté. Une minute de gagnée vaut trois heures de baise effrénée. Ma création littéraire a explosé. J'ai pris le recul nécessaire, élagué l'accessoire, je plonge de suite à l'essentiel. Quand je vois autour de moi, la masse absorbée par le quotidien et le matériel je me marre.

-0-

Chaque matin quand je fuis mon taudis et que je suis contraint de croiser mes «semblables» j'ai un haut le cœur. Une aigreur fielleuse me monte du fion. Fruit de l'indignation des cœurs forts et puissants (Mimile Zola dans le texte) Détestation légitime de ces pauvres épaves formatées, inconscientes de leurs conditionnements, pendues à leurs manies. Dépouillez-les de ces oripeaux, nus comme des vers, il n'y a rien. Des zéros en nombre. Des zéros évidés, translucides, évanescents. Des corps qui n'abritent rien.

-0-

Dire que je marine dans cette mare fétide et contaminatrice. Mais, avant de servir de pâture à la vermine dans une fosse publique, il faut que j'accouche mon exécration de l'autre, le dégoût que vous m'inspirez jusqu'à l'écœurement. Picaro bouffon, j'assume et m'amuse de vos lâchetés et faiblesse. Saine haine tu m'es moteur.

-0-

Deux désagrégés en lettres, sœur Anne (Boquel) et Etienne Kern viennent de commettre (sic) Une histoire des haines d'écrivains. Ils relèvent : la haine fait partie intégrante de la condition littéraire. Je revendique donc, légitimement, le titre de Céline du XXIième parrainé par Dieu la Rochelle avec comme tuteur Doriot. Mes exécrations pestilentielles relèvent donc de la création littéraire. Je suis un grand romancier original pas un Proust timoré et faux derche, pas un Dédé Gide cul-pabilisant tourmenté vu ses amitiés particulières au Maghreb. La faute à ces minots de crouilles avec leur jasmin à l'oreille. Craquants comme des petits beurs. Pas de bornes, pas de nuances dans l'abhorration qui aiguise et stimule ma plume bâtarde.

Pedro QUEVEDO

Pécul pour les connaissances

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6 septembre 2012

k i c é k i f é l a f a m ????????????????????

Je suis pas scato, mais là y a de quoi pousser un gros caca nerveux.

Faut que je l’ouvre, ma grande gueule, pour asséner quelques vérités aux bœufs de Francie. Tous mes potes dep ne sont pas que des cultureuses à la Cocteau, des coiffeuses, des chiffonniers à la Gaultier, des littérateurs proustiens (j’ai l’impression d’écrire un gros mot) à la Domi-nique (prénom prédestiné) Fernandez de l’Acad, des Lolote Ruquier, des Follegel.

Je ne passe pas mes journées à faire de la broderie avec ma vieille dans une chambre de lbonne rue Troufigue comme l’ânonne Charles le chauve de sa voix nasillarde depuis des lustres. Je me pochtronne au jaune, comme les vrais Jules, avec les copines de l’Hôtel Central. Mon Cul G.

-Kicékifélafem ? Pouah, la question qui pue. Tous ces clichés vasouillards m’indisposent au plus haut point. Tombereau de préjugés qui me font toujours réagir aux affirmations béotiennes du genre :

-Kicikifélom ? Ils n’ont même pas le courage, ces faux culs, de dire : Qui encule qui ? Au moins c’est clair. Ces mirliflores rimbaldiens qui causent de «nid douillet», car parler trouduc c’est vulgos qu’y disent. Depuis 60 ans je dois affronter publiquement cette sempiternelle question. Et ces cons de prendre la précaution de préciser : Réponds si tu veux. Encore heureux. Moi trop heureux je me gêne pas pour me lancer dans des descriptifs métaphoriques sur la technique (et les atouts) de l’enculage en bonne et dues règle.

Et banane chamollow, si tu avais un minimum de pratique du milieu tu saurais que l’ambivalence y est de règle. Un jour tu m’encules, le lendemain je t’encule. Faut user de tous ses outils. Mais voilà c’est plus confortable de se dire enculeur que enculé. Un enculé c’est pas propre dans le langage courant. Une tarlouze est rassurante pour les boeufs : passive, et donc soumise si de surcroit efféminé : tout pour plaire une quasi meuf.

Or donc il est dans la norme hétéro.

Quant à l’enculeur c’est un dévoyé, un grivois pour qui un trou c’est un trou et pis dans un moment d’égarement, n’est-ce pas !

Mes copains Maghrépines en savent quelques chose. Le mot : darija (en marocain) désigne l’homo passif. A forte connotation péjorative. Darija = caca boudin. (Oh oui gros boudin !) Aucun mot n’existe pour l’homo actif. Le gris Ramzi Zaharia sur Amman Radio Online nous précise gentiment :

“Dans le monde arabe le concept d’une relation pleine et entière entre deux personnes du même sexe n’existe pas. Ainsi si vous avez juste couché avec une personne du même sexe vous n’êtes pas considéré comme gay. Ce n’est qu’à partir du moment où la situation se développe (on appelle ça : dilatation anale Ramzi) par amour par exemple que ce terme devient pertinent.”  

Plus prosaïquement mon pote Omri m’a tenu le même discours. Si tu baises avec un autre que moi mais sans amour, tu es toujours fidèle. Wouah ! Génial et autant vous dire que j’en profite. Merci Allah.

Du même tonneau : Un pote algérien, Chérif, m’affirmera péremptoirement qu’il n’y a pas de tapettes algériennes. Mais au Maroc si tu savais. (Je fais plus que savoir. J’acte) Dans le genre Jean Marie Le Pénis a affirmé : Au Front national y a pet’être des gays mais y a pas de folles.

Je gerbe ces quelques lignes en pensant aux «petits pédés» (coucou Renaud) qui vivent en Province obligés de se cacher.

Je pense à vous les puceaux. Les "petits" pédés comme dirait l'ami Renaud.

Pas Line, le petit Loulou qu'a une bécane.

Pedro QUEVEDO

Pécul pour les potes

6 septembre 2012

A P O L O G I E - F U N E B R E

XXX

L e -  c r é p u s c u l e -  d e  - l ’ h o m m e

Hommage à Jean Genet, auteur de “Pompes funèbres”

 

Au crépuscule de l’Homme succède l’aube vaginocrate.

Quel auteur masculin oserait en ces temps publier “Querelle de Brest” ode à la virilité conquérante.

Ecrire c’est lever toutes les censures écrivait fort justement ce dernier.

Aussi je provoque la Grande Mutilatrice Anastasie et me dresse dans toute ma virilité, encore préservée, contre ces Chiennes de Gardes (dans la mesure où elles savent lire !) La femme est l’avenir de l’homme a prophétisé un auteur(*) consensuel contaminé. Voici venu les temps uniformes de l’uni-genre égalitariste avec la caste supérieure des vraies femelles, dites Amazones (Désopilant !) ébréchées recto/verso. La race pure des Marâtres ne doit pas être contaminée par ces soudards d’hommes dégénérés. Parias appelés à être cantonnés dans des camps, de triste mémoire, nourris par delà les barbelés de foin et d’orge. Réduits au rang de bêtes. Les meilleurs étalons seront traient de leur liquide séminal. Les spermatozoïdes dûment sélectionnés permettront une insémination artificielle de qualité. Sciences fiction geindront certaines bonnes âmes supplétives du combat féministes. Des hommes féministes ? Le noble sexe marche sur la tête. Regardez donc autour de vous les ravages de la féminisation : les hommes portent catogan, boucles d’oreilles, Saint Laurent a créé leur gamme de produits de beauté, ils font la vaisselle et la cuisine, torchent les mouchards pendant que leur épouse affalée sur le canapé du salon papotent devant un thé avec les Dames patronnesses du quartier avant de regarder un match de foot. Dans lequel match après chaque but les hommes s’élancent et s’enlacent entre eux dans d’équivoques épousailles. Les Marâtres prédatrices de Bazin ont vêlé l’aliénation masculine et culpabilisé l’homme de son plus noble attribut :

LE PHALLUS.

Nous atteignons le fonds du fonds de l’homme maternant, assumant sa dimension féminine (n’y voyez-vous là légère contradiction ?) soucieux de sa taille de frelon (laissons les guêpes aux autres). Fini le bon temps du mâle en rut qui prend sa femelle, à l’arrache, en période de reproduction. C’était le temps maintenant révolu où l’hédonisme était saine pratique, la bonne pitance de rigueur et la chair faisandée à l’honneur. Foin de déodorants pour cacher les fortes odeurs du sexe fort. Dans le politiquement correct contemporain nous barbotons dans l’euphémisme. Nous ne pouvons plus appeler chatte un chat ! La confusion des genres, conceptualisée par quelques philosophes névrosés, atteint son paroxysme. La femme est au pouvoir, elle a le pouvoir. Les femmes politiques sont des hommes (amputés) comme les autres. Aussi connes que cons. Regardez au sommet de l’Etat. Une maîtresse qui mène à la baguette Maître d’amant gélatineux et se chamaille avec l’ex dominatrice. Quel triste spectacle nous est donné à voir. Et imaginez les ravages produits parmi nos chères têtes blondes. Et l’émancipation féminine est décrétée progrès de l’humanité. Jamais, oh grand jamais dans l’humanité femme ne fut première. Quelle grave erreur que font certains hommes à s’associer à ce combat délétère. Mâle ressaisis-toi, il y va de ta survie.

_________________________

(*) Il s’agit de Louis Aragon - honte à lui – le stal surnommé Loulou par ses copines germanopratines. Et que ce soit lui qui fasse ce type de déclaration iconoclaste dans sa bouche laisse pantois.

Je n’en dirai pas plus sur sa vie privée, disons, très originale. Marié à Elsa Triolet (le gag ! bonjour le placard. Je n'en dirai pas plus. Car au PC, comme au Front National "Y a peut être des homos mais y a pas de folles" dixit pépé Lepenis 

 

6 septembre 2012

A GERBER DANS LE POTAGE

Cette bafouille baragouinante

faite de gonzesseries maniérées

 pour stipendier

l’ambiance décomposée du temps présent

avec le grand retour du mariage. Même les tarlouzes le revendiquent.

Imagine le bristol : “Monsieur Ducon et Monsieur Dugland vous font part …” et patati, et patata. Le daron en costard moisi trois pièces. Tu sais bien celui des funérailles de l’oncle Enflure dans les années Pinay. La sanguinolente pétainiste en robe  Vichy en plein nivôse.

S’auraient mieux fait de tous choir dans la fosse. Ensevelis ces crapauds. Bon débarras. Ils auraient au moins servi à quelque chose dans leur vie de naze en gavant quelques larves nécrophiles. Avec Tante Rose flétrie comme pomme talée, au teint bourgogne trahissant son penchant pour le biberonnage.

Te souvient-il aussi de l’angélique de bonne famille, le Jean-Edouard,  coincé de la pastille qui pérorait sur l’Etre et le Néant. A houspiller à grands coups de pompes dans les sensibles. Je va te viriliser tous ces proustiens, chiens dégénérés, ces batrachiens qui chient dans la soie et le taffetas.

Tous ces gros tas à l’incinération.

Simple mesure d'hygiène publique

BEURK !

quel dégoût

Pedro QUEVEDO

Pécul pour les initiés et intimes

 

6 septembre 2012

3 millions et UN GLAND

IMG_7908

Va finir par se raper le derche le Hollande à force de siester sur un banc

D’après Pompidou à 500 000 c’était la R E V O L U T I O N. Eh ben nous avons crevé le plafond des 3 000 000 de glands largement indemnisés par les ASSEDIC et rien à l’horizon. Certes ça rouspète dans les bistros mais sans plus, com d’hab. Le français de base : il la ferme. Il l’ouvre pour voter à l’Eurovision ou à un quelconque Star Acad. Le gland en chéfaille donne l’exemple. Le mou, cé pas avec ça qu’on va conquérir les marchés extérieurs, nous joue de la mimolette : diminution du salaire du président et des ministres. Jean-Marc à la diète, plus de choucroute pour le prof des frigolins. L’a oublié : les députés et les sénateurs. Depuis Monsieur Diams d’Estaing on nous bassine : nous sommes en crise et donc on n’arrête pas de serrer la ceinture àce stade je suis étranglé. Un chômeur de moins, avec ceux qui se suicident, comme aux Télécom on va finir par vaincre le sans emploi. Ah oui, j’oubliais dans les temps présent en now langue on dit : sans travail, chômeur en effet cé d’un vulgos attristant.

Le grand mou crée commission sur commission, ça crée pas du boulot ça madame Michu ? Et pis si on foutait dehors cette horde d’étranger et ben les Français, et ben faudrait qu’ils ramassent les poubelles, bithument les routes, couvrent les maisons avant de couvrir bobonne (hi hi hi). Bref les français feraient, la fleur au fusil, les sales boulots mal payés. Le chom est sur une pente ardue (Raffarinade du Tartarin) mais les parachutes dorés eux grimpent hardiment. Une minorité se dore au soleil des Bermudes et s’autorise des leçons d’austérité à la populace qui trime.

A U S T E R I T E quand ils prononcent ce mot sacré, la bouche en cul de poule, ils en bavent de jouissance. L’autre jour une intelligence supérieure ( synonyme : un économiste) prédisait que ça va continuer comme en 40. Prochainement on pourra claironner :

ouais banco, 4 millions de glands qui dit mieux ?

On nous prend pour des glands, y a de plus en plus de populo sous les chênes avec Saint Louis. Et en plus on nous culpabilise. Et dire qu’en son temps les glands nourrissaient les cochons. Conclusion : les sans emplois ne sont qu’une harde de porc. Je ne suis pas là pour faire dans la dentelle aussi, j’assume ouvertement ma délation :

On = tous les pouvoirs en place

C.a.d. politique, financiers, hauts fonctionnaires

Economistes distingués

Ces derniers nous expliquent le pourquoi du comment du chômage. Les distingués ils pourraient par nous expliquer comment sortir de cette merde plutôt ?  Vous rêvez mes enfants ils sont là pour claironner et passer à la téloche du 20h.  La solution dictée par la raison c’est : l’emploi partagé et la solidarité. Les patrons paient des heures supplémentaires a des gars qui ont déjà un salaire et y a des queues aux portes des usines ou à Pôle Emploi.

Pedro QUEVEDO - PQ pour les intimes

pécul pour ceux qui sont durs de la feuille

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